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GRECE 2014

    

         

                    

 
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GRECE

 

   

Tôt ce matin, je m'enfonce dans les ruelles qui mènent à l'acropole, désireux d'échapper à la fois à la forte chaleur de la journée, et aux cars déversant son flot de touristes.

    

    

L' Acropole s'élève au centre d'Athènes, qu'il semble dominer de par son histoire séculaire.
Ce site touristique est l'un des plus visité du monde.  

   

Le théâtre antique de Dionysos est le premier monument sur mon chemin.

   

En prenant de la hauteur, je me rends mieux compte de la vastitude de la cité Athénienne. Mon regard embrasse d'un coup l'immensité qui m' entoure. 

      

A quelques enjambées se dresse le Parthénon, le grand temple de la déesse grecque Athéna, situé sur l'acropole d'Athènes.

C'est le plus connu des monuments grecs classiques. Il a été construit de -447 à -432 par l'architecte Ictinos et décoré par le sculpteur Phidias, à l'initiative de Périclès, qui gouvernait alors Athènes.

        

Sans guide et sans dépliant décrivant les beautés des lieux, contant l'histoire de ces pierres ayant traversé les siècles, je me laisse emporter par ma passion de la photographie.

   

J'essaie tant bien que mal, de zapper les visiteurs du jour, oublier l'ambiance "selfie" bien à la mode en ce moment.

   

Le soleil est déjà haut dans le ciel. Ce n'est pas l'idéal pour attraper la meilleur lumière pour immortaliser ces instants dédiés à la culture.

Ecrasé par la chaleur ambiante, chacun se protège comme il peut de l'astre solaire, sous l'objectif voyeur et un brin moqueur de l'amateur photographe.

    

Il est temps alors de se mettre à l'abri dans un de ces nombreux musées ou dans ces remarquables bâtisses protégées par des murs épais.

     

    

    

Bravant les heures les plus chaudes de la journée, celles généralement mises à profit par les autochtones pour s'adonner à la sieste, je flâne à travers les rues désertées et les quartiers typiques de la capitale.

    

J'apprécie de me balader du côté des marchés dans les villes que je visite. C'est toujours une excellente occasion de me fondre dans l'ambiance « locale ».

        

Celui situé en plein centre ville, sur la rue Athinas, à quelques encablures du quartier de Monastiraki où je réside est particulièrement intéressant. De grandes halles du XIXe abritent un grand marché où l'on trouve de tout, viandes, poissons, fruits et légumes, à des prix attractifs, le tout dans une ambiance animée et grouillante de vie.

          

 

Pour mon dernier jour sur le sol grec, j'ai décidé d'enfourcher ma bicyclette. Ainsi je peux me déplacer plus facilement et surtout plus rapidement.

Je débute la visite en prenant la porte, celle d'Hadrien, un monument d'Athènes, situé à environ 500 m au sud-est de l'Acropole, non loin de l'Olympiéion. Le monument a été élevé en l'honneur de l'empereur Hadrien, après sa venue à Athènes, en 131.

   

A quelques tours de roues de là, L’Olympiéion appelé également  temple de Zeus olympien, se dressent 15 colonnes restées à la une. Situées au pied de l’Acropole d'Athènes elles témoignent de l'existence d'un temple très vaste, de style corinthien achevé en 129 (ou 131) après J.-C., sous l'impulsion de l'empereur Hadrien, grand admirateur de la culture grecque.

        

Ce temple mesurait 108 m de longueur et 41 m en façade. Il comptait en tout 104 colonnes corinthiennes, chacune haute de 17 m et de 2,6 mètres de diamètre.

Seulement 15 des colonnes d'origine sont encore debout aujourd'hui. En 1852, un coup de vent jeta une des colonnes à terre : elle y est encore. En l'admirant j'ai du mal à croire qu'un simple coup de vent ait pu ainsi la jeter à terre.

   

C’est devant le Parlement, place Syntagma, que je vous donne maintenant rendez vous pour la cérémonie de la relève de la garde présidentielle.
Il était temps, le spectacle commence...

Autrefois, ces gardes servaient réellement à défendre le Parlement et ses députés en cas d’attaque, Aujourd’hui, ils n’ont plus qu’un rôle décoratif pour les touristes que nous sommes.

      

Ces gardes nommés evzones (ce qui signifie « à la belle ceinture » en grec) portent des uniformes inspirés des costumes traditionnels grecs : béret de feutre rouge au gland de soie noire, chemise blanche avec des manches très évasées, gilet dont les broderies sont faites à la main, jupe appelée fustanelle qui comporte 400 plis afin de symboliser le nombre d’années d’occupation ottomane, hauts de chausse, pantalon rouge pour les officiers et collants en laine blanche pour les soldats, ceinturon à cartouchière et fixe-chaussettes noirs (bleus pour les officiers).

   

Après ce spectacle haut en couleur et en tradition, je poursuis ma balade en faisant un tour au Stade panathénaïque.
Ce stade antique d’Athènes, dont le nom usuel en grec, Kallimármaro fait référence au marbre dont il est entièrement revêtu a été rénové pour les premiers Jeux olympiques de l’ère moderne, en1896.

La piste de forme allongée est typique du stade antique (d'une longueur de 200 mètres environ, où le virage était très serré). Ce stade se situe entre deux collines.
Pour accueillir les Jeux olympiques d'été de 1896 le stade panathénaïque fut entièrement reconstruit sous la direction de l'architecte Ernst Ziller, grâce au mécénat de Georges Averoff dont on peut voir la statue à l'entrée du stade.

Lors des championnats du monde d'athlétisme de 1997, il a été utilisé pour la cérémonie d'ouverture et pour l'arrivée du marathon. Après avoir été à nouveau restauré, il a accueilli lors des XXVIIIes Jeux olympiques de l'ère moderne les épreuves de tir à l'arc et l'arrivée des deux marathons, dont la dernière épreuve des Jeux, le 29 août 2004.

C'est dans le métro d'Athènes que mon escapade annuelle se termine.
Dans 40 minutes environ, je serai rendu à l'aéroport. Ce moyen de transport est le plus économique. Pour 8 euro, il achemine les voyageurs du centre de la capitale, jusqu'à l'aéroport international, connu sous le nom d’aéroport Elefthérios-Venizélos. Même chargé de sacoches et d'un volumineux carton contenant ma bicyclette je n'ai eu aucun problème pour circuler.

 

 

Voici en un peu plus de 300 photographies, l'illustration de ce voyage en Grèce à vélo.

 

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Certaines informations de cette rubrique sont extraites de WIKIPEDIA.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

GRECE

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Samedi 09/08/2014

Vol Lyon-Athènes

Athènes- Elefsina soit 61 km à vélo
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Dimanche 10/08/2014
Elefsina- Livadia
88 km

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Lundi 11/08/2014
Livadia -Eleonas
74 km
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Mardi 12/08/2014
Eleonas-Lamia
70km
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Mercredi 13/08/2014
Lamia-Kedros
73km
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Jeudi 14/08/2014
Kedros -Météore
78 km
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Vendredi 15/08/2014
Météore- sommet du Katara pass
60 km
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Samedi 16/08/2014
Katara pass-Leonina
92 km
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Dimanche 17/08/2014
Leonina-Amfilochia
104km
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Lundi 18/08/2014
Amfilochia-Rio Pio(vers Patra)
123 km
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Mardi 19/08/2014
Rio Pio - Kiato
97 km
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Mercredi 20/08/2014
Kiato-Corinthe
100 km
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Jeudi 21/08/2014
Corinthe- Athenes
83km

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Vendredi 22/08/2014

Visite
Athènes

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Samedi 23/08/2014

Visite Athènes et vol retour pour la France
10 km
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TOTAL 1100 km parcourus à vélo

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